L'utilisation de ce sort est une pratique courante dans les accords commerciaux importants. Les deux partis qui s'engagent dans un accord via un contrat de Zilchus savent que celui qui le brisera en subira de graves conséquences.
Durant l'incantation du sort, le prêtre doit réciter tous les termes du contrat, sans en oublier le moindre détail. Le sort échouera si l'un des deux participants y participe contre son gré, est sous l'emprise d'un charme ou n'est pas en possession de tous ses esprits.
Si, de manière délibérée, l'un des deux partis ne respectait pas les termes du contrat, alors la main de Zilchus pèserait lourdement sur son commerce et le mènerait rapidement à la ruine. Pendant une année, toute tentative de sa part pour réaliser un profit subirait les affres du destin et serait vouée à l'échec, tandis que ses activités à risque entraineraient toujours des pertes maximales.
Si, malgré tous ses efforts et pour des raisons ne dépendant pas de sa volonté, l'un des deux partis n'arrivait pas à respecter les termes du contrat, alors son commerce subirait des déboires financiers plus ou moins importants selon les circonstances. Le contrat peut être annulé pour un prix forfaitaire par le prêtre (ou l'un de ses supérieurs) avec l'accord des deux partis.
Les composantes matérielles de ce sort sont un cheveu de chaque participant et une poignée de poudre d'or (100 Po) qui doit être jetée en l'air devant les deux contractants. En plus du paiement de la poussière d'or nécessaire à ce sort, les prêtres de Zilchus demandent généralement un intéressement de 1 à 5 % sur les profits qui seront dégagés grâce au contrat.